INTROSherlock Holmes est un personnage de fiction créé par Sir Arthur Conan Doyle dans le roman policier Une étude en rouge[note 1] en 1887.
Détective privé doté d'une mémoire remarquable pour tout ce qui peut l'aider à résoudre des crimes en général[1][2], il a très peu de savoirs dans les autres domaines de la connaissance[3]. Lors de ses enquêtes, plusieurs relatées dans les 4 romans et les 56 nouvelles qui forment ce qu'on appelle le canon, il est fréquemment accompagné du Docteur Watson.
L'existence imaginaire de Sherlock Holmes doit beaucoup au docteur et professeur en chirurgie Joseph Bell, dont les déductions étonnantes sur les patients et leurs maladies impressionnaient Doyle.
BIOGRAPHIE FICTIVENé en 1854 selon les suppositions les plus courantes (aucune date n'est en effet citée) en un lieu non déterminé, descendant de petits propriétaires terriens et petit-neveu du peintre Horace Vernet, Sherlock Holmes est un célibataire endurci, plutôt misogyne, dont le seul parent connu selon le canon est son frère aîné Mycroft, un des piliers du Diogenes Club et qui occupe des fonctions importantes auprès du gouvernement britannique. Le docteur Watson, son ami et biographe, est la seule personne qui partage son intimité.
Watson : « Holmes me fit un résumé des événements. » Illustration de Sidney Paget dans le Strand Magazine (1892) pour La Flamme d'argent dans Les Mémoires de Sherlock Holmes.Il réside au 221b Baker Street, à Londres où il exerce la profession de détective privé conseil (consulting detective). Il a commencé son activité en 1878 et rencontre le docteur Watson en 1881 ou 1882 et avoue avoir effectué un millier d’enquêtes en 1891[réf. nécessaire]. Après une disparition étrange en 1891 (appelé le « grand hiatus »), liée à son affrontement avec le professeur Moriarty, il reprend du service de 1894 jusqu’en 1903. Il reçoit la Légion d'honneur en 1894, mais refuse le titre de chevalier en 1902.
Grand, mince, élégant mais négligent, de façon bohème, Holmes est un fumeur invétéré (cigarette, cigare et pipe), un sportif accompli (baritsu, boxe et escrime), un mélomane averti qui pratique le violon et un médiocre mangeur. Il ne supporte pas l'oisiveté, qui l’épuise et ne vit que pour son travail, pendant les moments où il ne peut travailler, il est parfois amené à se droguer (cocaïne[4]), mais il en profite aussi pour compléter la culture encyclopédique nécessaire à sa profession.
Égotiste, cet esprit supérieurement intelligent supporte difficilement la lenteur d’esprit chez autrui ; artiste et doué pour les déguisements, il est toujours en représentation aimant surprendre ses clients et son excellent ami Watson. Il n’apprécie guère la police officielle et n’hésite pas à bafouer la loi lorsqu’elle lui paraît peu compatible avec la justice. Le rang de son client lui importe moins que l’intérêt de son affaire. Bien que prétendant mépriser la notoriété, il ne s’oppose en rien à la publication de certaines de ses enquêtes par Watson qui contribue à lui donner une renommée considérable. S’il méprise l’argent et n’hésite pas à enquêter pour des gens modestes, il reçoit néanmoins des récompenses importantes de grands qui lui permettent de prendre sa retraite confortablement.
Sherlock Holmes résout les mystères par un processus en trois étapes : l’observation des indices, l’induction et la synthèse logique.
À l'origine, Sir Conan Doyle avait prévu d'appeler son détective Sherrinford Holmes (notes manuscrites conservées à la British Library de Londres).
221B Baker StreetL’adresse de Sherlock Holmes est mondialement connue[réf. nécessaire] : 221b Baker Street, mais cela ne suffit pas à situer sa résidence dans Londres.
Le principe consistant à avoir un côté pair et un côté impair dans une rue n’est en effet pas très ancien. Il n’a été rendu obligatoire en Europe continentale que par Napoléon Ier (l’idée de mur métrique n’apparaît que plus tard encore). Londres n’a pas été concernée par cette obligation et n’a adopté ce système qu’après la fin de la Première Guerre mondiale, soit bien après l’emménagement du docteur Watson décrit dans Une étude en rouge, où l’adresse est déjà le 221b. Conan Doyle ne mentionne aucun changement de dénomination de l'adresse par la suite.
Il existe en 2008 à Londres deux « maisons de Sherlock Holmes » ouvertes à la visite du public et qui n’ont pas plus de réalité historique que la « cellule d’Edmond Dantès » que l’on fait visiter au Château d'If. On expose dans chacune des pièces d’intérêt divers, tels que cinq pépins d’orange.
Ils existent pleins de Bandes Déssinés, Parodies, et histoires basées sur Sherlock Holmes.
Source: WikipédiaEt voici un grand détective =) J'aime bien les histoires, mais je ne peux pas vraiment juger, parce que je lis les histoires en versions résumées et en anglais >< Parce qu'il n'y en a pas d'autres, tout simplement, à la bibliothèque de l'école. Donc voilà ^^' Il y a une histoire par contre que je connais bien, c'est Le Chien des Baskervilles, dont j'ai lu le livre (résumé et anglais T__T), vu la pièce de théatre et vu le film =)